À moins de travailler en dehors du cadre d’une entreprise ou en solo, en général, une activité professionnelle rassemble plusieurs personnes au sein d’une ou plusieurs équipes. Dans une équipe, il y a un leader ou « manager » et d’autres membres.
Si certains sont un peu doués pour diriger ou manager des équipes, d’autres ont plus de mal. Cependant, il faut savoir que l’art de la gestion d’équipe s’apprend. De même, avec des outils comme ad hoc Management, vous pouvez améliorer vos compétences en gestion d’équipe. Quels sont les enjeux de diriger une équipe ? Comment manager une équipe ?
La gestion d’équipe n’est pas facile. S’il favorise l’innovation, l’intelligence collective, la productivité, l’amélioration de la performance, etc., vous devez apprendre à diriger des équipes de cette façon, élaborer et animer des plans d’action de gestion. En effet, un bon manager doit :
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Un manager doit savoir organiser au mieux son travail et son temps. Il doit être capable de coordonner les tâches, de prévoir, d’anticiper et de gérer les aléas (arrêt/départ de salariés, problèmes logistiques ou matériels, retards de livraison, interruptions intempestives, pressions du marché, etc.), qui peuvent épuiser toute une équipe si elles sont mal gérées ou complètement ignorées.
Au sein d’une entreprise, un manager agit comme un pont entre la direction et les différentes équipes. Par conséquent, toutes les instructions de monarchies supérieures sont transmises aux membres de l’équipe par l’intermédiaire du manager.
Après avoir compris les objectifs de l’entreprise fixés par la direction, sa première responsabilité est de développer la stratégie de l’équipe. Bref, c’est un plan d’action à suivre pour atteindre ces objectifs.
Donner une rétroaction négative n’est pas la tâche la plus confortable pour un manager. En instaurant et en entretenant une véritable culture du feedback, la tâche est facilitée. À quoi ressemble un feedback efficace ? C’est spécifique et exploitable, dur si nécessaire.
Quant aux pièges à éviter, ils sont évidents : en faire trop ou pas assez. Trop direct ou trop vulnérable, car vous êtes à l’aise avec l’idée de donner un feedback négatif, ou à l’inverse, ne pas en dire assez, car l’exercice est difficile, notamment avec certains profils d’employés. En termes de feedback, la sémantique est importante : l’auteur n’a pas dit feedback positif, mais feedback renforcé, et feedback négatif a été renommé feedback redirigé.